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un autre scénario pour l'univers
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mais où est donc passée la gravité ?

nota : les idées développées dans cette partie de texte sont les mêmes que celles du texte   F  l'expansion de l'univers : la grande illusion.  Ici toutefois, elles sont spécialement mises en relation avec les notions exposées dans les pages précédentes.
 
 

 
Une particule est à l'espace ce qu'une vague est à la mer
 
Nous avons jusqu'ici parlé des photons et des neutrinos qui tournent en rond dans la matière ou qui s'enfuient au loin à la vitesse de la lumière, sans expliciter la manière dont ces choses voyagent dans le vide de l'espace et réagissent avec lui.
Dans la théorie "standard" actuelle, le vide est un réceptacle dans lequel circulent la matière et les rayonnements. Notre conception suppose elle qu'il n'y a pas de différence fondamentale entre le vide et ce qui y circule. Pour seulement donner une image, et si l'on dit par exemple que le vide c'est la mer, alors une particule n'est que l'équivalent d'une vague qui se propage sur cette mer, ou d'une onde qui voyage dans ses profondeurs. Dans cet exemple, la vague ou l'onde ne sont pas faites de "réalités matérielles" différentes de celles qui constituent la mer, elles ne sont que des déformations de la mer qui sont capables de tenir et de se déplacer sans se défaire. De la même façon, les particules ne seraient pas des réalités qui voyageraient dans le vide de l'espace, mais elles seraient des déformations de l'espace capables de durer sans se défaire.

Nécessairement, ce vide de l'espace, pour être ainsi capable de se déformer, ne serait pas sans structure : il serait lui-même organisé en ondes qui pulsent à toutes les échelles de l'univers.
 
 
 

Naissance de l'organisation des ondes d'espace
 
L'univers aurait d'abord connu une tendance dispersée et non organisée à se faire déformer par des ondes. De cette tendance "initiale" (mais qui n'est pas forcément au début de l'univers) nous ne pouvons rien dire. Mais nous devons en faire l'hypothèse pour démarrer notre explication de l'évolution de l'univers.
Sous l'effet donc de cette tendance "initiale", le vide se serait progressivement rempli d'ondes à toutes les échelles de l'univers, depuis la plus microscopique jusqu'à la plus grande.
 
Par essence, une onde voyage, sauf si ses rebonds sur une enceinte la fait à tout instant revenir aux mêmes endroits. On parle alors d'onde stationnaire.
 
 
1 : expansion des ondes
 
2: rebond sur l'enceinte
puis recontraction des ondes
 
3 : résultat stationnaire
 
Les ondes qui structurent l'espace se seraient précisément construites comme des ondes stationnaires.
Cette situation d'ondes qui pulsent sans bouger, elle serait la réponse à une situation paradoxale qui régnait à une époque encore plus lointaine de l'univers :
- à ce moment là de son histoire, l'univers devait se laisser déformer sans arrêt par des ondes en déplacement incessant. Alors des ondes l'ont parcouru sans cesse ;
- mais dans le même temps, aucune dissymétrie ne pouvait se produire, aucun courant orienté de déformation ne pouvait exister dans l'univers du fait de sa configuration initiale homogène dans toutes les directions. Puisque les ondes ne pouvaient pas défaire cette symétrie et cette homogénéité irréversible de l'univers, elles se sont organisées pour voyager de telle sorte que la déformation qu'elles causent soit homogène dans toutes les directions. Le moyen pour y parvenir a été de s'adapter les unes les autres pour rebondir exactement et sans arrêt les unes sur les autres.
Les ondes voyageaient, déformant l'univers comme le voulait l'une de ses tendances, et ce mouvement restait partout et tout le temps symétrique et semblable quelque soit la direction, comme le voulait son autre tentante tout aussi impérieuse.

Selon le même principe que celui expliqué pour la naissance des forces [voir E cette explication], ces deux tendances au mouvement et à la symétrie auraient interféré entre elles sur toutes les échelles de l'univers, et auraient fini par construire un réseau indéformable d'ondes autosimilaires dans toute l'étendue de l'univers et occupant un nombre quasi-infini de ses échelles. La plus grande échelle où elles auraient réussi à se former serait celle des énormes bulles vides qui structurent comme on le sait l'univers : les galaxies se répartissent sur les parois et à la rencontre de ces poches complètement vides de matière.
 
Cette simulation modélise la distribution des galaxies dans un cube de 260 millions d'années-lumière de côté. La répartition des galaxies suggère une structure en forme d'éponge, avec une concentration sur des murs ou des parois englobants de vastes espaces vides. 
Ces bulles vides seraient dans notre hypothèse la plus grande échelle des ondes d'espace capable de tenir sans s'effondrer. 
[Document "Sciences et Avenir"]
 
 
 
Naissance de la lumière
 
Quand cette régularité du rebond symétrique fut atteinte sur une infinité d'échelles de l'univers, alors tout fut scellé et infiniment impossible à défaire. Depuis, sauf à "l'échelle quantique" dont il provoque l'aléatoire des mesures, l'espace se manifeste comme fixe et comme sans tremblement, bien qu'il n'arrête pas de se déformer et de frissonner sur place. De l'espace rien ne bouge, bien qu'en lui-même rien ne cesse de bouger.
Mais cette fixité absolue obtenue par l'équilibre absolu du mouvement, fut la source d'une nouvelle situation intenable pour l'univers :
- en lui existait toujours la tendance indestructible à se déformer en se faisant traverser par des ondes ;
- et ses ondes s'étaient organisées pour rester absolument stationnaires, supprimant finalement tout transport de déformation.

Alors à leur tour ces deux tendances incompatibles au mouvement et à la fixité des ondes ont dû inventer un effet qui leur permette de se réaliser simultanément et sans se renier ni l'une ni l'autre.
La solution à ce paradoxe fut que les ondes devenues fixes se mirent elles-mêmes à se déformer, se débarrassant de cette déformation en la passant à leur voisine, qui la passera à son tour à sa voisine, etc. Comme une onde, cette déformation des ondes se propage alors de proche en proche, chevauchant les ondes d'espace comme une vague chevauche la mer.  
 
Dans l'univers, des déformations continuent donc à voyager comme des ondes, ce qui satisfait la première tendance paradoxale, et cette déformation ne nécessite pas le déplacement des ondes d'espace (seulement leur vibration très momentanément et très localement dissymétrique), ce qui satisfait la seconde tendance sans pour antant heurter la tendance globale à la symétrie qui les a rendu stationnaires.
 
 
La tendance irréversible au voyage des ondes dans l'espace, et la tendance irréversible à la stabilité des ondes d'espace, trouvent la solution à leur conflit en faisant que désormais ce sont les ondes d'espace qui se déforment et ce sont ces déformations des ondes qui voyagent maintenant comme des ondes sur des ondes. 
Ces déformations locales des ondes d'espace, qui ne peuvent rester en place car les ondes sur lesquelles elles passent les expulsent immédiatement pour retrouver leur position sationnaire équilibrée, ce sont les photons de lumière, et la vitesse de leur expulsion est bien évidemment . . . la vitesse de la lumière.
 
Ces ondes de déformations qui chevauchent les ondes d'espace et les font trembler à leur passage, sont ce que nous appleons des "photons de lumière".
Ils ne se forment pas n'importe où, mais sur la frontière des gigantesques bulles d'espace qui structurent l'univers. Parce que cette frontière est le point faible des ondes d'espace, le niveau où elles n'ont pas réussi à parfaitement s'équilibrer mutuellement.
Ils ne se forment pas isolément. Quand la déformation de l'univers trouve un endroit pour s'excercer en prenant en défaut la stabilité des ondes d'espace, elle s'engoufre dans ce coin et y fait jaillir les photons par groupes symétriques compacts, colossaux et comme inépuisables. Ces jets de lumière, sont ce que nous appelons les quasars. Les astrophysiciens se demandent d'où vient l'énergie inimaginable qui engendre les jets d'un quasar : nous supposons ici qu'elle vient littéralement "du vide", et que c'est précisément sous cette forme que l'énergie pénètre dans l'espace de notre univers.
 
Le quasar qui a été découvert presque au centre de notre galaxie, photographié en 1992.  
Il se compose de deux jets symétriques de plus de 3 années-lumières de longueur.  
Ces jets ne sortent d'aucune source visible de matière. 
[photo F. Mirabel/CEA-Saclay et S. Brunier] 
 
Selon la théorie "standard" l'énergie phénoménale qui se dégage par les jets d'un quasar ne pourrait s'expliquer que par leur expulsion d'un trou noir central . . . dont pourtant par définition rien ne peut sortir. 
Selon notre hypothèse, les quasars seraient précisément la forme sous laquelle l'énergie sort du vide et pénètre dans notre univers : la vibration incontenable des ondes d'espace s'y concentre et s'y transforme en déformations locales de ces ondes d'espace. 
Ces déformations locales nous les appelons "photons de lumière". Ils fusent en gigantesques colonnes compactes symétriques que nous appelons "jet de quasar"
 

actualité de septembre 2001 :

Notre hypothèse sur les quasars implique que le mouvement des photons s'y organise en forme d'hélice, d'hélice, d'hélice, etc., sur une infinité d'échelles hiérarchiques. Le détail des explications de cette hypothèse ne peut être donné sur ce site, mais cet aspect est justifié en détail dans le livre dont la section "Science" est issue.
Depuis quelques temps l'observation de l'un des deux jets centraux de la galaxie M87 avait déjà montré que les rayonnements électromagnétiques s'y propagent en tournant en spirale, selon un mécanisme analogue à ce qui se produit dans un synchrotron, ce qui allait donc sur ce point dans le sens prévu par notre hypothèse, du moins pour ce qui concerne la plus grande échelle du mouvement en spiral.
Une toute nouvelle observation du télescope CHANDRA de la NASA vient de confirmer que les rayons X émis par ce jet le sont bien selon un processus de type synchrotron. Mais de plus, à la grande surprise des scientifiques, le spectre et l'intensité des rayons X qui sortent du noyau central correspondent également à ce type de radiation, et non pas à celui de radiations qui seraient causées par du matériau tombant vers un trou noir comme ils s'y attendaient. Bien sûr cette nouvelle observation conforte notre hypothèse, et si elle est rejointe par de nouvelles observations semblables, l'explication "par le trou noir" deviendra intenable.


 

 
Le très banal paradoxe onde/corpuscule
 
Selon notre hypothèse, un photon apparaît directement comme un effet ponctuel qui se déplace comme une onde sur des ondes : l'aspect paradoxal de son caractère à la fois corpusculaire (en tant que quanta de rayonnement) et ondulatoire (capable de faire des interférences) n'est donc pas pour nous un problème . . . ni même un paradoxe, c'est une conséquence logique inévitable.
De la même façon, les particules de matière qui ne seraient que des photons organisés en spirales de neutrinos qui tournent en boucle à la vitesse de la lumière [voir E cette explication], ne seraient donc finalement rien d'autre que des entortillements locaux d'ondes d'espace que les ondes d'espace ne peuvent plus défaire. Le caractère corpusculaire et ondulatoire de toute particule est donc très naturellement pris en compte par notre conception.

Le point important qui tranche cependant avec la conception actuelle de la physique quantique, est que nous sommes amenés à supposer que ces deux caractères sont toujours présents, et qu'ils ne mutent pas l'un en l'autre selon la façon dont on regarde ces particules.
Dans la théorie actuelle, on dit par exemple qu'un photon de lumière voyage comme une onde, et qu'il se réduit en un "paquet d'ondes" lorsqu'il se fait intercepter.
Cette différence est essentielle pour interpréter le "rougissement" des ondes qui nous parviennent des galaxies lointaines. Dans la conception standard, les ondes n'ont aucune raison de modifier leur fréquence lors du trajet des photons, et leur décalage presque systématique vers le rouge (diminution de fréquence) ne peut être attribué qu'à un effet Doppler causé par un éloignement de la source de lumière au fur et à mesure de l'émission initiale de cette lumière. Comme cette diminution de fréquence est d'autant plus forte que les galaxies sont loin de nous, on en déduit logiquement que l'univers s'expanse dans tous les sens autour de nous.
 
 
 
 
 
explication schématique de l'effet Doppler-Fizeau d'allongement de la longueur d'onde d'une lumière dont la source s'éloigne ( plus la source est loin de nous, et plus sa lumière met de temps à nous parvenir, et plus ses photons nous arrivent avec retard par rapport à ce qui se serait produit si la source ne s'était pas éloignée) 
 
 
 
 
Dans notre hypothèse, nous devons envisager que les photons voyagent comme des ondes ponctuelles, c'est-à-dire comme des ondes certes, mais également comme des corpuscules ponctuels. Ce que cela implique est facilement lisible sur le schéma ci-contre : si une source émet des photons à cadence régulière, leur caractère ponctuel implique qu'au fil du temps ils se dilueront dans un volume toujours plus grand autour de cette source. Ils seront donc naturellement d'autant moins fréquents dans l'espace qu'ils auront voyagé longtemps depuis leur source. 
L'effet de baisse de fréquence proportionnelle à l'éloignement, n'est donc pas pour nous un effet de l'expansion de l'univers, mais un effet du caractère simultanément corpusculaire et ondulatoire des rayonnements.
Il n'est pas question de nier le fait que l'on voit presque toutes les galaxies s'éloigner de nous, et s'en éloigner d'autant plus vite qu'elles sont loin de nous, mais ce que l'on voit ne serait pas la réalité, ce serait seulement la conséquence d'un effet d'optique dans l'espace-temps, similaire à l'effet d'optique dans l'espace qui nous fait voir les objets qui s'éloignent de nous systématiquement diminuer de taille, alors que l'on sait bien pourtant qu'ils ne rétrécissement pas réellement.
 
actualité de mars 1999: 
 
Des observations récentes (voir par exemple leur compte-rendu dans le numéro de mars 1999 de la revue "Pour la Science") laissent penser que le décalage vers le rouge des rayonnements ne serait pas exactement proportionnel au temps qui passe, mais qu'il accélérerait quelque peu au cours du temps. Dans la conception d'un univers en expansion, cela signifie que la vitesse de l'expansion s'accélère, ce qui est en contradiction avec l'idée communément admise dans la même conception et selon laquelle la gravité freine progressivement l'expansion. 
Dans notre hypothèse, un photon n'est qu'une irrégularité locale, une déformation locale des ondes d'espace que celles-ci s'empressent de repasser à leurs voisines pour s'en débarasser, et qui par ailleurs s'étale sur un nombre croissant d'ondes au fur et à mesure que le temps passe. Dans cette optique, l'accélération au fil du temps du décalage vers le rouge peut s'expliquer par le fait que les photons très vieux ont leur énergie trop étalée, répartie dans un trop grand volume, et de la sorte s'éteignent brusquement, ou sont détruits par le bruit de fond de l'agitation des ondes d'espace. 
La disparition de ces photons diminue progressivement leur nombre, donc leur fréquence dans l'espace, ce qui est une autre façon de dire que la longueur d'onde de ce qui reste de rayonnement augmente au fil du temps. 
Ainsi, comme on l'a expliqué ci-dessus la diminution de fréquence des photons serait d'abord due à leur dilution progressive et régulière dans l'espace, et pour les plus vieux rayonnements une perte supplémentaire de fréquence proviendrait de la fraction des photons qui se défont naturellement du fait de leur trop grande perte de cohésion. 
 
 
 
Le début de notre univers comme un changement de phase
 
Comme on l'a supposé, ce que nous appelons l'univers ne serait donc pas au début de tout, mais serait le résultat d'une évolution irrépressible des ondes d'espaces. Bloquant la déformation des ondes qui parcouraient l'univers dans son état "précédent", les ondes stationnaires d'espace ont suscité le regroupement de ces déformations sous forme jets de quasars remplis de photons qui filent en ligne droite. Ces photons se sont ensuite organisés en spirales de neutrinos, qui eux-mêmes se sont mis à tourner en boucles fermées dans des particules de matière. Puis, à partir d'un certain moment, ces particules de matière ont poussé trop loin leur organisation, cherchant à entraîner trop de déformations aux ondes d'espace. Ne pouvant se déformer davantage, les ondes d'espace ont réagi en détruisant en cadence les renforcements des particules de matière. Cette pulsation alternée de construction/destruction d'ondes suppémentaires de matière autour des particules de matière, correspond à ce que nous appelons la pulsation des ondes électriques.
Ainsi, avec la naissance des ondes électriques maintenant emboitées dans la pulsation des ondes d'espace, l'univers achève tout un cycle de son évolution. Par un certain aspect il revient à un état très antérieur de son histoire, puisqu'il se remet à fabriquer des ondes ce qu'il avait inventé depuis longtemps. Mais ces nouvelles ondes électriques portent plus de complexité en elles que les vieilles ondes d'espace, et cette complexité sera l'occasion du cycle suivant de l'organisation du mouvement dans l'univers. Cette nouvelle étape, on l'appellera "la vie".
Elle est aussi décrite dans l'ouvrage "L'adieu au big-bang".

On a dit que cette évolution constante ne s'accompagnait pas d'une expansion de l'univers.
Cela ne signifie pas qu'il n'y a pas un agrandissement progressif des parties ainsi touchées par l'évolution. Dans la théorie du big-bang, la notion d'expansion signifie que la matière est créée dès le départ une fois pour toutes, et qu'elle se dilue dans un volume sans cesse plus grand.
Notre conception de l'agrandissement, signifie lui que l'état précédent de l'univers se transforme en son état actuel dans un volume toujours plus grand d'univers, la matière n'étant qu'un moment relativement tardif de cette évolution.
Ce qui fait la matière et les rayonnements, d'ailleurs ne se crée pas vraiment, mais change seulement d'aspect et de comportement pour devenir ce que nous connaissons comme "la matière et les rayonnements".
La naissance de notre univers ne serait donc pas à penser comme l'événement exceptionnel d'une explosion originelle dans le vide, mais comme un épisode tout à fait analogue aux transformations très habituelles que nous appelons changements de phase, c'est-à-dire par exemple la transformation d'un état solide en un état liquide, ou d'un état liquide en un état gazeux.
Ce que nous appelons le début de l'univers, serait quelque chose comme la fonte de son état plus ancien.
Lorsque de la glace fond, le volume d'eau qu'elle forme ne cesse d'augmenter. De la même façon exactement, on peut dire que le volume de l'univers ne cesse d'augmenter.
Si l'on ne sait voir que l'eau et pas la glace, on peut croire que cette eau se crée spontanément dans le vide. Si l'on sait deviner la glace à défaut de la voir, on se dit que l'univers d'eau ne s'agrandit pas vraiment, mais que son état sous forme de glace se transforme en eau dans un volume qui ne cesse de s'agrandir.

D'ailleurs quelqu'un l'a déjà dit : rien ne se crée, tout se transforme.
 


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